Depuis les dernières décennies, les probiotiques ont dominé les recherches émergentes sur l'importance des microbes pour favoriser la santé humaine. Évoluant en tandem avec notre système immunitaire depuis des millions d'années, aujourd'hui, ils vivent en symbiose avec notre organisme. Les prébiotiques, quant à eux, sont bien connus et documentés pour leur rôle essentiel comme source d'énergie des espèces probiotiques. Dernièrement, des recherches ont commencé à inclure un groupe de composés connexe : les postbiotiques.
Par définition, il ne s'agit pas de bactéries vivantes, mais plutôt de composés bioactifs sécrétés par les probiotiques. Les postbiotiques représentent une nouvelle catégorie d'intervention thérapeutique. Les effets considérables des métabolites postbiotiques dans le microbiome expliquent en partie pourquoi une quantité relativement faible de probiotiques influence si profondément ce vaste microbiome, favorisant les systèmes gastro-intestinal et immunitaire ainsi que la santé en général. Les postbiotiques partagent de nombreux bienfaits pour la santé avec les prébiotiques et les probiotiques, mais ne nécessitent ni fermentation, ni survie, ni franchissement de barrières métaboliques. Ils procurent plutôt des nutriments déjà convertis, comme des acides butyriques et d'autres acides gras à chaîne courte, des sources d'énergie que les bactéries intestinales peuvent utiliser sur-le-champ.
Des études cliniques sur les postbiotiques ont fait ressortir une multitude de bénéfices, de la régulation métabolique à la gestion du poids en passant par l'immunomodulation et des effets antioxydants. Par exemple, des données in vitro et in vivo exhaustives sur le Lactobacillus plantarum L-137, un postbiotique traité thermiquement, témoignent de sa capacité à soutenir le système immunitaire en augmentant l'immunité à la fois innée et acquise. Le L-137 stimule la production d'interféron bêta, améliore les défenses contre l'influenza et réduit considérablement l'incidence d'infections du système respiratoire supérieur en cas de stress. Il peut également réduire les marqueurs d'inflammation, dont l'alanine aminotransférase, et améliorer le métabolisme lipidique, selon les taux de cholestérol global et LDL chez les personnes en santé présentant un IMC élevé et une inflammation à la base.
Le Lactobacillus paracasei MCC-1849 est un autre postbiotique traité thermiquement qui réduit l'incidence du rhume, les cotes symptomatiques et le nombre total de jours avec des symptômes chez les personnes susceptibles, tout en améliorant le travail des anticorps chez les aînés. À l'instar du L-137, le MCC-1849 semble adapter la réponse immunitaire en augmentant l'interleukine-12 (IL-12) et les effets en aval, notamment l'activation des cellules tueuses naturelles. De toute évidence, les formules postbiotiques sont capables d'activer et de modifier la fonction des cellules immunitaires. Contrairement aux probiotiques, les postbiotiques fournissent les composés bioactifs nécessaires à ces bienfaits même lorsqu'une affection perturbe le microbiome, notamment le syndrome du côlon irritable, la prolifération bactérienne de l'intestin grêle et la dysbiose.
Or, c'est la capacité de détection du quorum qui constitue peut-être la qualité la plus intéressante des postbiotiques. Par détection du quorum, on entend les tactiques de communication intra et interespèces des bactéries à l'aide de protéines de signalisation; c'est ce qui empêche la colonisation de bactéries pathogènes et contribue à réguler et équilibrer les populations microbiennes dans le microbiome. La supplémentation directe en postbiotiques fournit une concentration accrue de protéines de signalisation jouant un rôle clé dans la détection du quorum, optimisant ainsi la communication au sein de la microflore pour réguler efficacement les réponses immunitaires et l’équilibre des populations bactériennes.
Postbiotiques Flora·Matrix de Cyto·Matrix contient du Lactobacillus plantarum L-137 et du Lactobacillus paracasei MCC-1849 traités thermiquement dans des doses fondées sur des données probantes, proposant un mélange naturel d'enzymes, de métabolites et d'autres composés bioactifs qui favorise la réponse immunitaire et soutient le microbiome. Les Postbiotiques Flora·Matrix peuvent être pris en complément des prébiotiques et des probiotiques, mais offrent également des bienfaits pour la santé lorsqu’ils sont utilisés seuls. Chaque plaque alvéolée contient 30 capsules conservées à température ambiante, sans gluten, sans soya et sans OGM.
Unité de mesure ci-dessus:
Each capsule
Ingrédient | Montant |
---|---|
Lacticaseibacillus paracasei MCC1849 | 20mg |
Immuno-LP20 (Lactiplantibacillus plantarum L-13) | 10mg |
Ingrédients non médicinaux:
Stéarate de magnésium de grade végétal, acide ascorbique, acacia (Fibregum🅪), maltodextrine. Capsule: hypromellose.
Depuis les dernières décennies, les probiotiques ont dominé les recherches émergentes sur l'importance des microbes pour favoriser la santé humaine. Évoluant en tandem avec notre système immunitaire depuis des millions d'années, aujourd'hui, ils vivent en symbiose avec notre organisme. Les prébiotiques, quant à eux, sont bien connus et documentés pour leur rôle essentiel comme source d'énergie des espèces probiotiques. Dernièrement, des recherches ont commencé à inclure un groupe de composés connexe : les postbiotiques.
Par définition, il ne s'agit pas de bactéries vivantes, mais plutôt de composés bioactifs sécrétés par les probiotiques. Les postbiotiques représentent une nouvelle catégorie d'intervention thérapeutique. Les effets considérables des métabolites postbiotiques dans le microbiome expliquent en partie pourquoi une quantité relativement faible de probiotiques influence si profondément ce vaste microbiome, favorisant les systèmes gastro-intestinal et immunitaire ainsi que la santé en général. Les postbiotiques partagent de nombreux bienfaits pour la santé avec les prébiotiques et les probiotiques, mais ne nécessitent ni fermentation, ni survie, ni franchissement de barrières métaboliques. Ils procurent plutôt des nutriments déjà convertis, comme des acides butyriques et d'autres acides gras à chaîne courte, des sources d'énergie que les bactéries intestinales peuvent utiliser sur-le-champ.
Des études cliniques sur les postbiotiques ont fait ressortir une multitude de bénéfices, de la régulation métabolique à la gestion du poids en passant par l'immunomodulation et des effets antioxydants. Par exemple, des données in vitro et in vivo exhaustives sur le Lactobacillus plantarum L-137, un postbiotique traité thermiquement, témoignent de sa capacité à soutenir le système immunitaire en augmentant l'immunité à la fois innée et acquise. Le L-137 stimule la production d'interféron bêta, améliore les défenses contre l'influenza et réduit considérablement l'incidence d'infections du système respiratoire supérieur en cas de stress. Il peut également réduire les marqueurs d'inflammation, dont l'alanine aminotransférase, et améliorer le métabolisme lipidique, selon les taux de cholestérol global et LDL chez les personnes en santé présentant un IMC élevé et une inflammation à la base.
Le Lactobacillus paracasei MCC-1849 est un autre postbiotique traité thermiquement qui réduit l'incidence du rhume, les cotes symptomatiques et le nombre total de jours avec des symptômes chez les personnes susceptibles, tout en améliorant le travail des anticorps chez les aînés. À l'instar du L-137, le MCC-1849 semble adapter la réponse immunitaire en augmentant l'interleukine-12 (IL-12) et les effets en aval, notamment l'activation des cellules tueuses naturelles. De toute évidence, les formules postbiotiques sont capables d'activer et de modifier la fonction des cellules immunitaires. Contrairement aux probiotiques, les postbiotiques fournissent les composés bioactifs nécessaires à ces bienfaits même lorsqu'une affection perturbe le microbiome, notamment le syndrome du côlon irritable, la prolifération bactérienne de l'intestin grêle et la dysbiose.
Or, c'est la capacité de détection du quorum qui constitue peut-être la qualité la plus intéressante des postbiotiques. Par détection du quorum, on entend les tactiques de communication intra et interespèces des bactéries à l'aide de protéines de signalisation; c'est ce qui empêche la colonisation de bactéries pathogènes et contribue à réguler et équilibrer les populations microbiennes dans le microbiome. La supplémentation directe en postbiotiques fournit une concentration accrue de protéines de signalisation jouant un rôle clé dans la détection du quorum, optimisant ainsi la communication au sein de la microflore pour réguler efficacement les réponses immunitaires et l’équilibre des populations bactériennes.
Postbiotiques Flora·Matrix de Cyto·Matrix contient du Lactobacillus plantarum L-137 et du Lactobacillus paracasei MCC-1849 traités thermiquement dans des doses fondées sur des données probantes, proposant un mélange naturel d'enzymes, de métabolites et d'autres composés bioactifs qui favorise la réponse immunitaire et soutient le microbiome. Les Postbiotiques Flora·Matrix peuvent être pris en complément des prébiotiques et des probiotiques, mais offrent également des bienfaits pour la santé lorsqu’ils sont utilisés seuls. Chaque plaque alvéolée contient 30 capsules conservées à température ambiante, sans gluten, sans soya et sans OGM.
Unit of Measure above:
Each capsule
Ingrédient | Montant |
---|---|
Lacticaseibacillus paracasei MCC1849 | 20mg |
Immuno-LP20 (Lactiplantibacillus plantarum L-13) | 10mg |