Estro Matrix

Un mélange fondé sur des données probantes de D-glucarate de calcium, de DIM, d’I·3·C et de sulforaphane pour favoriser le métabolisme adéquat des œstrogènes grâce à la détoxication hépatique et digestive.
  • Recommandé pour la régulation adéquate des œstrogènes, le contrôle des symptômes associés à la dominance œstrogénique et la saine différenciation cellulaire des tissus mammaires et cervicaux, en améliorant la détoxication des xénobiotiques et en favorisant la fonction hépatique
  • Le D-glucarate de calcium agit comme inhibiteur de glucuronidase afin de prévenir la recirculation entéro-hépatique des œstrogènes
  • L'I·3·C et le DIM favorisent la production de 2-OHE1, la forme protectrice de l'œstrogène qui a des effets anti-œstrogéniques dans l'organisme
  • Un composé issu des glucosinolates, le sulforaphane induit les enzymes de détoxication de phase II et favorise l'élimination de xénobiotiques et de divers carcinogènes
Convient aux végétaliens. Sans OGM, gluten, soya ou produits laitiers.
Objectifs de santé

L'organisme comporte des systèmes de détoxication complexes qui éliminent les éléments superflus, dont les sous-produits alimentaires, les métaux inertes et les produits chimiques de tous les jours. Or, ces systèmes jouent également un rôle clé dans la régulation des hormones stéroïdiennes comme l'œstrogène. Des fonctions hépatiques et digestives affaiblies, accompagnées d'une exposition excessive à des xénœstrogènes, peuvent mener à la recirculation entéro-hépatique des œstrogènes et, au bout du compte, à un état de dominance œstrogénique nuisant à l'organisme. Heureusement, on a cerné de nombreux composés naturels qui favorisent une détoxication œstrogénique adéquate et une saine régulation des hormones.


L'indole-3-carbinol (I·3·C) existe naturellement dans les légumes crucifères comme le brocoli et le chou-fleur. Il est connu pour ses propriétés favorisant un métabolisme sain des œstrogènes. L'I·3·C régule positivement la production du 2-OHE1, la forme protectrice de l'œstrogène qui a des effets anti-œstrogéniques. Le 16-OHE1, en revanche, possède de puissants effets œstrogéniques et prolifératifs qui contrarient l'action du 2-OHE1. Plusieurs études ont démontré qu'un rapport élevé entre les taux du 2-OHE1 et du 16-OHE1 protège contre les maladies et atténue les symptômes associés à une dominance œstrogénique. L'I·3·C améliore l'équilibre des métabolites œstrogéniques.


De nombreux essais ont démontré qu'une supplémentation en I·3·C favorise une évolution positive des métabolites œstrogéniques, ce qui est bénéfique pour la santé. Par exemple, l'I·3·C a démontré une amélioration des résultats chez les femmes atteintes d'une maladie cervicale. Des études réalisées sur des animaux ont également démontré que l'I·3·C peut prévenir la différenciation cellulaire anormale dans les tissus mammaires. En plus de favoriser un rapport métabolique positif des œstrogènes, I·3·C influence également l'expression de plusieurs gènes, notamment le suppresseur de tumeur p53 et le gène BRCA1, qui contribuent à la différenciation saine des tissus hormono-sensibles.


L'organisme métabolise l'I·3·C naturellement en plusieurs composés actifs, dont le diindolylméthane (D-I-M), le métabolite prédominant. Bien que le débat reste ouvert quant à la supériorité du DIM ou de l'I·3·C en tant que supplément nutritionnel, chaque composé offre des bienfaits. L'I·3·C procure de nombreux métabolites actifs, tandis que le DIM est un métabolite principal qui a un puissant effet de détoxication. Les deux composés sont bien documentés et régulent efficacement les œstrogènes dans l'organisme.


Un autre élément naturel présent dans les oranges, les carottes, les pommes et le brocoli, le D-glucarate, ou acide glucarique, stimule l'élimination d'hormones excessives, de différentes toxines et de carcinogènes en désactivant la glucuronidase. La glucuronidase est une enzyme produite par la microflore du côlon qui peut « réactiver » des composés neutralisés par le foie, empêchant ainsi la recirculation de ces toxines dans l'organisme. Des études sur les animaux ont constaté que de fortes doses de D-glucarate de calcium peuvent réduire le taux d'œstrogène jusqu'à 23 % tout en améliorant l'équilibre lipidique. Bref, le D-glucarate de calcium est l'un des inhibiteurs naturels de glucuronidase les mieux connus, et la forme la plus étudiée pour un apport sécuritaire.


Enfin, le sulforaphane est un composant de la glucosinolate, naturellement présente dans le brocoli et les légumes crucifères, tout comme l'I·3·C et le DIM. De nombreuses études cliniques ont validé son utilité pour favoriser une différenciation cellulaire normale en éliminant les xénobiotiques, ainsi qu'induire la phase II de détoxication enzymatique dans le foie.  Par exemple, le sulforaphane réduit les effets carcinogènes de l'exposition du foie aux aflatoxines, en plus d'agir comme anti-inflammatoire en inhibant le facteur nucléaire kappaB (NFKB), la prostaglandine E2 et le facteur de nécrose tumorale alpha (TNF alpha). Il peut également réduire l'expression des récepteurs œstrogéniques dans les tissus mammaires, et agit comme agent antimicrobien contre des pathogènes comme H. pylori, S. pyogenes et S. aureus.


Trois capsules par jour d'Estro Matrix de Cyto·Matrix procurent 200 mg d'I·3·C, 100 mg de DIM, 1 500 mg de D-glucarate de calcium et 100 mg de sulforaphane. Estro Matrix propose ainsi une dose fondée sur des données probantes d'ingrédients synergiques, fournissant un soutien ciblé et continu en assurant un métabolisme œstrogénique adéquat. 

L'organisme comporte des systèmes de détoxication complexes qui éliminent les éléments superflus, dont les sous-produits alimentaires, les métaux inertes et les produits chimiques de tous les jours. Or, ces systèmes jouent également un rôle clé dans la régulation des hormones stéroïdiennes comme l'œstrogène. Des fonctions hépatiques et digestives affaiblies, accompagnées d'une exposition excessive à des xénœstrogènes, peuvent mener à la recirculation entéro-hépatique des œstrogènes et, au bout du compte, à un état de dominance œstrogénique nuisant à l'organisme. Heureusement, on a cerné de nombreux composés naturels qui favorisent une détoxication œstrogénique adéquate et une saine régulation des hormones.


L'indole-3-carbinol (I·3·C) existe naturellement dans les légumes crucifères comme le brocoli et le chou-fleur. Il est connu pour ses propriétés favorisant un métabolisme sain des œstrogènes. L'I·3·C régule positivement la production du 2-OHE1, la forme protectrice de l'œstrogène qui a des effets anti-œstrogéniques. Le 16-OHE1, en revanche, possède de puissants effets œstrogéniques et prolifératifs qui contrarient l'action du 2-OHE1. Plusieurs études ont démontré qu'un rapport élevé entre les taux du 2-OHE1 et du 16-OHE1 protège contre les maladies et atténue les symptômes associés à une dominance œstrogénique. L'I·3·C améliore l'équilibre des métabolites œstrogéniques.


De nombreux essais ont démontré qu'une supplémentation en I·3·C favorise une évolution positive des métabolites œstrogéniques, ce qui est bénéfique pour la santé. Par exemple, l'I·3·C a démontré une amélioration des résultats chez les femmes atteintes d'une maladie cervicale. Des études réalisées sur des animaux ont également démontré que l'I·3·C peut prévenir la différenciation cellulaire anormale dans les tissus mammaires. En plus de favoriser un rapport métabolique positif des œstrogènes, I·3·C influence également l'expression de plusieurs gènes, notamment le suppresseur de tumeur p53 et le gène BRCA1, qui contribuent à la différenciation saine des tissus hormono-sensibles.


L'organisme métabolise l'I·3·C naturellement en plusieurs composés actifs, dont le diindolylméthane (D-I-M), le métabolite prédominant. Bien que le débat reste ouvert quant à la supériorité du DIM ou de l'I·3·C en tant que supplément nutritionnel, chaque composé offre des bienfaits. L'I·3·C procure de nombreux métabolites actifs, tandis que le DIM est un métabolite principal qui a un puissant effet de détoxication. Les deux composés sont bien documentés et régulent efficacement les œstrogènes dans l'organisme.


Un autre élément naturel présent dans les oranges, les carottes, les pommes et le brocoli, le D-glucarate, ou acide glucarique, stimule l'élimination d'hormones excessives, de différentes toxines et de carcinogènes en désactivant la glucuronidase. La glucuronidase est une enzyme produite par la microflore du côlon qui peut « réactiver » des composés neutralisés par le foie, empêchant ainsi la recirculation de ces toxines dans l'organisme. Des études sur les animaux ont constaté que de fortes doses de D-glucarate de calcium peuvent réduire le taux d'œstrogène jusqu'à 23 % tout en améliorant l'équilibre lipidique. Bref, le D-glucarate de calcium est l'un des inhibiteurs naturels de glucuronidase les mieux connus, et la forme la plus étudiée pour un apport sécuritaire.


Enfin, le sulforaphane est un composant de la glucosinolate, naturellement présente dans le brocoli et les légumes crucifères, tout comme l'I·3·C et le DIM. De nombreuses études cliniques ont validé son utilité pour favoriser une différenciation cellulaire normale en éliminant les xénobiotiques, ainsi qu'induire la phase II de détoxication enzymatique dans le foie.  Par exemple, le sulforaphane réduit les effets carcinogènes de l'exposition du foie aux aflatoxines, en plus d'agir comme anti-inflammatoire en inhibant le facteur nucléaire kappaB (NFKB), la prostaglandine E2 et le facteur de nécrose tumorale alpha (TNF alpha). Il peut également réduire l'expression des récepteurs œstrogéniques dans les tissus mammaires, et agit comme agent antimicrobien contre des pathogènes comme H. pylori, S. pyogenes et S. aureus.


Trois capsules par jour d'Estro Matrix de Cyto·Matrix procurent 200 mg d'I·3·C, 100 mg de DIM, 1 500 mg de D-glucarate de calcium et 100 mg de sulforaphane. Estro Matrix propose ainsi une dose fondée sur des données probantes d'ingrédients synergiques, fournissant un soutien ciblé et continu en assurant un métabolisme œstrogénique adéquat. 

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