Polluants, pesticides, allergènes et autres toxines exogènes prennent régulièrement d'assaut l'organisme. Même si les procédés de détoxication collaborent harmonieusement pour évacuer ces composés le plus rapidement possible, ils sont souvent submergés et peuvent bénéficier de renfort. Si le succès global de la détoxication passe par la fin de l'exposition aux toxines, il faut aussi assurer des fonctions hépatique et rénale optimales. Heureusement, différents extraits de plantes ont prouvé leur capacité à favoriser le travail de ces organes de détoxication essentiels.

Silybum marianum est sans doute la plante la mieux connue pour son effet protecteur sur le foie. Des essais cliniques chez l'humain ont déterminé que l'extrait de chardon Marie peut normaliser les enzymes hépatiques et augmenter la production de glutathion endogène. Silybum marianum améliore également la glycémie à jeun, le taux d'insuline, la concentration de HbA1c et l'indice de masse corporelle (IMC) chez les personnes souffrant d'un trouble métabolique, et peut contribuer à la réduction de l'inflammation des parois du tractus gastro-intestinal.

Parmi les plantes hépatoprotectrices moins bien connues figurent Cynara scolymus et Picrorhiza kurroa; la première peut augmenter la sécrétion de bile et réduire les ballonnements, la douleur abdominale, les flatulences et les nausées chez les personnes atteintes de dyspepsie ou du SCI. Des recherches ont également confirmé sa capacité à réduire les triglycérides et le cholestérol LDL ainsi qu'à augmenter les enzymes hépatiques chez les gens souffrant de stéatohépatite métabolique (MASH). Picrorhiza kurroa, quant à lui, présente des caractéristiques antivirales. Dans le cadre d'une étude aléatoire, à double insu contre placebo, deux semaines de supplémentation ont mené à une baisse considérable des taux de bilirubine, de SGOT et de SGPT par rapport au placebo.

Quand il s'agit de favoriser l'élimination rénale, Urtica dioica, Arctostaphylos uva-ursi et Arctium lappa sont des diurétiques efficaces, mais chaque plante produit aussi des effets complémentaires uniques. Par exemple, Urtica dioica peut améliorer les symptômes de l'appareil urinaire chez les hommes souffrant d'hyperplasie bénigne de la prostate (HBP), ainsi que réduire la glycémie à jeun et la concentration de Hba1c en cas de trouble métabolique. Arctostaphylos uva-ursi a des effets astringent, émollient et antiseptique sur les membranes des voies urinaires, et protège ainsi contre les infections urinaires. Enfin, on a constaté qu'Arctium lappa diminue les taux de transaminases élevés et rétablit la concentration de glutathion dans le foie d'animaux.

Ensemble, ces plantes sont normalisées en fonction des ingrédients actifs, le cas échéant, et incluses dans le supplément DT·Matrix de Cyto·Matrix pour favoriser la santé hépatique et la détoxication rénale. La formule renferme aussi de la Beta vulgaris pour soutenir la production d'oxyde nitrique et améliorer la circulation sanguine, une autre étape importante d'une détoxication optimale. On recommande DT·Matrix pour optimiser les fonctions hépatique et rénale ou en cas de symptômes de charge toxique excessive, tels un faible niveau d'énergie, des maux de tête, des malaises, la constipation et des capacités cognitives affaiblies.